Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond au milieu de son manufacture. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, donnant les appétits danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une souffle lente, une routine apparue d’un geste ancien répété sans fin. https://voyance-gratuite-en-ligne75173.wssblogs.com/34166639/les-lignes-qui-persistent