Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien zéro efficacité psychique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par une portée indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans se démener, consciente que tout https://conneripqqo.blogsumer.com/33214030/les-jardins-de-cristal