Callista resta de longues heures à immobiliser l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait solide, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait crevé, et avec lui, la seule https://jolie-voyance62738.blogoscience.com/40101266/la-éclaircissement-des-marées