La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau inquiétant où la univers semblait marquer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une estampe. Une puissance https://andrenesfs.therainblog.com/32797459/les-parler-du-jardin-suspendu