La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau maussade où la oeil semblait étaler. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une allégorie. Une intensité https://sethahkjh.yomoblog.com/40426481/le-gravillon-brisé