Le château de Camelot s’étendait marqué par un ciel de plomb, où les nuages lourds semblaient boucher sur les remparts en tant qu' un divination silencieux. L’aube peinait à naître la chape grise qui recouvrait le destin, et l’atmosphère elle-même semblait imprégnée d’une tension artérielle apathique. Dans les entrailles du https://edwardh890wrl6.yomoblog.com/40130408/les-silences-de-la-destinee